«
Ce fut d’abord une histoire de rencontres, avec la Caisse d’Epargne, partenaire premium des JO, qui avait la possibilité de proposer des porteurs de flamme, et qui a fait le choix de solliciter plusieurs personnes engagées dans le monde associatif
», explique Pascal PICHON, «
ensuite, ce fut une vraie démarche volontaire
».
« Aujourd’hui, nous avons un contrat qui indique nos obligations », ajoute l’ancien pompier volontaire, «
on peut même faire l’objet d’une enquête administrative pour vérifier notre bonne moralité !
», et, ainsi, éviter tout grabuge sur le parcours.
Si, à l’instar des 11 0000 porteurs de flammes retenus en France, Pascal et Patrice n’ont pas encore reçu les détails de leur participation (lieu, horaire…), ils savent, néanmoins, qu’ils devront parcourir 200 mètres, et s’y préparent déjà ! «
Encore ce matin, j’ai couru 1h sur mon tapis de course
», indique tout sourire Patrice, qui avoue avoir pris un peu de poids après un accident.
Il faut dire que l’on n’a pas tous les jours la possibilité de participer à l’histoire de l’olympisme. Et, donc, ce n’est pas sans une réelle émotion que l’un et l’autre ont appris leur participation : «
je n’en revenais pas, j’étais ému et fier, j’ai tout de suite pensé à mes petits-enfants », confie Patrice, « c’est sûr, ça fait quelque chose !
», confirme Pascal.
En tout cas, ils pourront compter sur le soutien de toute une Ville et des Pornichétins au moment de leur relais.